En vérité, il n'est pas possible pour nous les hommes de discerner,
encadrer, ou limiter les différentes catégories du mal que le diable peut
mettre en oeuvre alors qu'en sera-t-il pour un nombre limité; défini.
En effet, le diable est la cause de tout le mal dans le monde, mais après
une bonne recherche on peut constater et dire que son mal est
centralisé dans six catégories.
Il ne cesse d'entraîner l'homme jusqu'à ce
qu'il le pousse dans un des pièges.
1er Piège :
La mécréance, l'infidélité, l'association et prendre Allâh et Son
Messager Mohammad pour ennemi En premier lieu, si le diable
réussit à piéger l'homme dans ce péché blâmable il se tranquillise
et se calme à ce moment et cesse de fournir tout effort de détournement.
Si le diable réussit ceci, il fait de cette personne piégée un soldat dans son
armée et un adjoint pour être responsable sur ses semblables,
alors cette personne devient une publicité pour Iblis (le diable).
Mais si cette personne est destinée à choisir l'Islam elle évitera le piège.
Dans le cas où le diable n'a pas réussi son coup, il persiste et ne
désespère pas, il essaye d'entraîner cette personne vers le second piège.
2ème Piège : L'innovation [Al-Bid‘â]
La Bid‘â est préférable au diable que la perversité et le reste des
actes de désobéissance, car le mal qu'elle peut engendrer risque
de modifier la bonne ligne de la religion.
Le mal de la Bid‘â est un mal à double effet, l'innovateur
se charge de péchés et en même temps il modifie la religion.
La Bid‘â est un péché énorme; le repentir de cet innovateur
ne pourra être accepté que quand celui-ci délaissera cette innovation.
C'est le 1er piège à poser. Avant même qu'elle ne soit créée.
Le diable réussit à mêler, piéger la personne en question dans
la Bid‘â (l'innovation), à ce moment fait de lui un « Moubtadi‘ »
adjoint du diable qui fait la propagande de la Bid‘â, appelle aux
chemins rivaux à la ligne du Prophète -sallâ l-Lahû ‘aleyhi wa sallam-.
Si cet homme est bien lié à la Sunna et déteste la Bid‘â,
le diable à ce moment-là, tente de le pousser dans le 3ème piège.
3ème Piège : Pousser l'homme dans les grands péchés.
A ce stade, le diable essaie à tout prix d'entraîner le musulman
à commettre les grands péchés surtout si celui qu'on veut
piéger est une personne de savoir .
Le diable essaie de le piéger pour l'utiliser comme moyen
pour écarter les fidèles de la pratique de la religion, il est bien
évident qu'un peuple pourrait être détourné facilement
quand elle perd l'homme exemple, modèle à suivre.
Le diable trouve une personne naïve pour cette mission,
faisant croire à celui-ci que propager le défaut de cette personne
fait parti de la pratique de la religion alors que ce naïf ne se rend
pas compte qu'il travaille pour le compte du diable.
Allâh -Ta‘âlâ- dit : « Ceux qui aiment que la turpitude se propage
parmi les croyants auront un châtiment douloureux ici-bas
comme dans l'au-delà. » (Sourate 24, verset 19).
Cette punition mentionnée dans le verset précédent
« châtiment douloureux » atteint ceux qui souhaitent
propager les défauts de leurs frères au lieu de les conseiller,
qu'en pensez-vous alors de ceux qui arrivent au stade de
diffuser les défauts de quelqu'un au sein de la communauté.
Les péchés commis par cette personne en question font parti
des péchés entre Allâh et les hommes, ceux-ci peuvent être
pardonnés si le pécheur se repent, regrette sa faute, demande le
pardon alors que le naïf "haut parleur" a fait une injustice envers
cette personne en question "chercher à dévoiler les défauts de
quelqu'un" ce genre de péchés font parti des péchés entre
hommes, ne profitent du pardon que par un arrangement entre
deux (oppresseur et opprimé) dans ce monde ; et si ce n'est pas
le cas, par règlement des comptes le jour du jugement dernier.
Par ce moyen le diable entraîne cette personne "haut parleur"
à dévoiler, scandaliser toucher à la dignité de son frère, mais
ne sait-il pas que rien n'échappe à la connaissance de Allâh ?
Allâh sait tout, même ce qu'on dit à soi-même quand on est seul.
Normalement un musulman doit conseiller son frère
musulman au lieu de propager ses défauts.
Si le diable ne réussit pas ce piège-ci il essaie le suivant.
-4ème Piège : Les petits péchés
Les petits péchés peuvent causer la perte d'une personne s'ils s'accumulent.
Le Prophète -sallâ l-Lahû ‘aleyhi wa sallam- dit :
« Méfiez-vous des petits péchés ».
Il -sallâ l-Lahû ‘aleyhi wa sallam- dit un hadith dont le sens
est l'exemple d'un groupe de voyageurs chacun a ramené un
bout de bois, ils ont réussi à préparer de quoi manger.
Le diable entraîne donc cet homme vers l'accumulation des petits péchés.
Il ne cesse de le faire croire que les petits péchés ne sont pas
graves de sorte que la personne qui commet les grands péchés
déçue de ceux-ci se trouve dans un stade meilleur que ce "petit pécheur".
Car on voit bien que celui qui vit déçu de ces péchés (grands péchés)
les reconnaît comme tels, finit un jour par les désavouer et se
repent finalement, or celui qui y néglige ne se repent
presque jamais. Dans le cas où le diable échoue à ce stade,
il essaie d'entraîner le serviteur vigilant vers le 5ème piège.
5ème Piège : Le permis [Al-moubah]
Ce sont les actes qui ne rapportent ni récompenses ni péchés.
Ici le diable essaie de dévier le serviteur de certains actes
bénéfiques pour lui au Jour de la Résurrection.
Il peut utiliser divers moyens pour l'empêcher de réaliser
le but pour lequel cet adorateur a été créé.
Si cette personne réussit à bien gérer son temps de manière
qu'elle ne perd pas les minutes de sa vie, elle oeuvre en
permanence bénéfiquement pour elle (pour son au-delà).
Le diable cette fois-ci utilise le 6ème piège.
6ème Piège : C'est d'occuper le serviteur dans des oeuvres
moins avantageuses que d'autres.
Le diable ne désespère pas de dévier ce serviteur même après
avoir échoué dans les premiers pièges.
En effet il va user ses ruses pour orienter cet adorateur vers
des actes qui même bons ne rapportent pas à son auteur autant
de récompenses et de mérites que d'autres.
Il enjolive ces actes de moins grandes valeurs de manières à
ce que le fidèle passe à côté et rares sont ceux qui arrivent à déceler,
percevoir que le manipulateur de ce détournement est le diable.
L'homme ne voit dans ses actions que du bien et il sait que
le diable ne pousse qu'à faire le mal.
Il est donc persuadé que son acte a été guidé par Allâh.
Dans ce cas le serviteur est excusé car son savoir est limité, et il ne
peut distinguer la stratégie du diable qui inspire soixante dix bonnes
oeuvres pour l'entraîner dans une seule oeuvre mauvaise ou bien
pour l'écarter d'une oeuvre meilleure que ces soixante dix.
L'homme ne peut atteindre ce niveau de clairvoyance que par
une lumière de guidée que Allâh met dans le coeur de ce dernier.
Ces occupations sont en générale celles qui ramènent moins
de récompenses que d'autres .
La cause de cette guidée divine étant le suivi du Prophète
-sallâ l-Lahû ‘aleyhi wa sallam- et l'attachement à ses traditions
(Sunna) qui amènent le serviteur à connaître et cibler les oeuvres
les plus méritoires pour les hommes et les plus agréées par Allâh.
Ne connaissent vraiment ce stade de guidée que les hommes
qui sont les héritiers de la science donnée au Prophète
-sallâ l-Lahû ‘aleyhi wa sallam-, ceux qui le prennent pour
exemple, et modèle à suivre, alors que la plupart des hommes
vivent dans l'indifférence vis-àvis de ceci.
Allâh fait grâce à celui qu'Il veut parmi Ses serviteurs.
encadrer, ou limiter les différentes catégories du mal que le diable peut
mettre en oeuvre alors qu'en sera-t-il pour un nombre limité; défini.
En effet, le diable est la cause de tout le mal dans le monde, mais après
une bonne recherche on peut constater et dire que son mal est
centralisé dans six catégories.
Il ne cesse d'entraîner l'homme jusqu'à ce
qu'il le pousse dans un des pièges.
1er Piège :
La mécréance, l'infidélité, l'association et prendre Allâh et Son
Messager Mohammad pour ennemi En premier lieu, si le diable
réussit à piéger l'homme dans ce péché blâmable il se tranquillise
et se calme à ce moment et cesse de fournir tout effort de détournement.
Si le diable réussit ceci, il fait de cette personne piégée un soldat dans son
armée et un adjoint pour être responsable sur ses semblables,
alors cette personne devient une publicité pour Iblis (le diable).
Mais si cette personne est destinée à choisir l'Islam elle évitera le piège.
Dans le cas où le diable n'a pas réussi son coup, il persiste et ne
désespère pas, il essaye d'entraîner cette personne vers le second piège.
2ème Piège : L'innovation [Al-Bid‘â]
La Bid‘â est préférable au diable que la perversité et le reste des
actes de désobéissance, car le mal qu'elle peut engendrer risque
de modifier la bonne ligne de la religion.
Le mal de la Bid‘â est un mal à double effet, l'innovateur
se charge de péchés et en même temps il modifie la religion.
La Bid‘â est un péché énorme; le repentir de cet innovateur
ne pourra être accepté que quand celui-ci délaissera cette innovation.
C'est le 1er piège à poser. Avant même qu'elle ne soit créée.
Le diable réussit à mêler, piéger la personne en question dans
la Bid‘â (l'innovation), à ce moment fait de lui un « Moubtadi‘ »
adjoint du diable qui fait la propagande de la Bid‘â, appelle aux
chemins rivaux à la ligne du Prophète -sallâ l-Lahû ‘aleyhi wa sallam-.
Si cet homme est bien lié à la Sunna et déteste la Bid‘â,
le diable à ce moment-là, tente de le pousser dans le 3ème piège.
3ème Piège : Pousser l'homme dans les grands péchés.
A ce stade, le diable essaie à tout prix d'entraîner le musulman
à commettre les grands péchés surtout si celui qu'on veut
piéger est une personne de savoir .
Le diable essaie de le piéger pour l'utiliser comme moyen
pour écarter les fidèles de la pratique de la religion, il est bien
évident qu'un peuple pourrait être détourné facilement
quand elle perd l'homme exemple, modèle à suivre.
Le diable trouve une personne naïve pour cette mission,
faisant croire à celui-ci que propager le défaut de cette personne
fait parti de la pratique de la religion alors que ce naïf ne se rend
pas compte qu'il travaille pour le compte du diable.
Allâh -Ta‘âlâ- dit : « Ceux qui aiment que la turpitude se propage
parmi les croyants auront un châtiment douloureux ici-bas
comme dans l'au-delà. » (Sourate 24, verset 19).
Cette punition mentionnée dans le verset précédent
« châtiment douloureux » atteint ceux qui souhaitent
propager les défauts de leurs frères au lieu de les conseiller,
qu'en pensez-vous alors de ceux qui arrivent au stade de
diffuser les défauts de quelqu'un au sein de la communauté.
Les péchés commis par cette personne en question font parti
des péchés entre Allâh et les hommes, ceux-ci peuvent être
pardonnés si le pécheur se repent, regrette sa faute, demande le
pardon alors que le naïf "haut parleur" a fait une injustice envers
cette personne en question "chercher à dévoiler les défauts de
quelqu'un" ce genre de péchés font parti des péchés entre
hommes, ne profitent du pardon que par un arrangement entre
deux (oppresseur et opprimé) dans ce monde ; et si ce n'est pas
le cas, par règlement des comptes le jour du jugement dernier.
Par ce moyen le diable entraîne cette personne "haut parleur"
à dévoiler, scandaliser toucher à la dignité de son frère, mais
ne sait-il pas que rien n'échappe à la connaissance de Allâh ?
Allâh sait tout, même ce qu'on dit à soi-même quand on est seul.
Normalement un musulman doit conseiller son frère
musulman au lieu de propager ses défauts.
Si le diable ne réussit pas ce piège-ci il essaie le suivant.
-4ème Piège : Les petits péchés
Les petits péchés peuvent causer la perte d'une personne s'ils s'accumulent.
Le Prophète -sallâ l-Lahû ‘aleyhi wa sallam- dit :
« Méfiez-vous des petits péchés ».
Il -sallâ l-Lahû ‘aleyhi wa sallam- dit un hadith dont le sens
est l'exemple d'un groupe de voyageurs chacun a ramené un
bout de bois, ils ont réussi à préparer de quoi manger.
Le diable entraîne donc cet homme vers l'accumulation des petits péchés.
Il ne cesse de le faire croire que les petits péchés ne sont pas
graves de sorte que la personne qui commet les grands péchés
déçue de ceux-ci se trouve dans un stade meilleur que ce "petit pécheur".
Car on voit bien que celui qui vit déçu de ces péchés (grands péchés)
les reconnaît comme tels, finit un jour par les désavouer et se
repent finalement, or celui qui y néglige ne se repent
presque jamais. Dans le cas où le diable échoue à ce stade,
il essaie d'entraîner le serviteur vigilant vers le 5ème piège.
5ème Piège : Le permis [Al-moubah]
Ce sont les actes qui ne rapportent ni récompenses ni péchés.
Ici le diable essaie de dévier le serviteur de certains actes
bénéfiques pour lui au Jour de la Résurrection.
Il peut utiliser divers moyens pour l'empêcher de réaliser
le but pour lequel cet adorateur a été créé.
Si cette personne réussit à bien gérer son temps de manière
qu'elle ne perd pas les minutes de sa vie, elle oeuvre en
permanence bénéfiquement pour elle (pour son au-delà).
Le diable cette fois-ci utilise le 6ème piège.
6ème Piège : C'est d'occuper le serviteur dans des oeuvres
moins avantageuses que d'autres.
Le diable ne désespère pas de dévier ce serviteur même après
avoir échoué dans les premiers pièges.
En effet il va user ses ruses pour orienter cet adorateur vers
des actes qui même bons ne rapportent pas à son auteur autant
de récompenses et de mérites que d'autres.
Il enjolive ces actes de moins grandes valeurs de manières à
ce que le fidèle passe à côté et rares sont ceux qui arrivent à déceler,
percevoir que le manipulateur de ce détournement est le diable.
L'homme ne voit dans ses actions que du bien et il sait que
le diable ne pousse qu'à faire le mal.
Il est donc persuadé que son acte a été guidé par Allâh.
Dans ce cas le serviteur est excusé car son savoir est limité, et il ne
peut distinguer la stratégie du diable qui inspire soixante dix bonnes
oeuvres pour l'entraîner dans une seule oeuvre mauvaise ou bien
pour l'écarter d'une oeuvre meilleure que ces soixante dix.
L'homme ne peut atteindre ce niveau de clairvoyance que par
une lumière de guidée que Allâh met dans le coeur de ce dernier.
Ces occupations sont en générale celles qui ramènent moins
de récompenses que d'autres .
La cause de cette guidée divine étant le suivi du Prophète
-sallâ l-Lahû ‘aleyhi wa sallam- et l'attachement à ses traditions
(Sunna) qui amènent le serviteur à connaître et cibler les oeuvres
les plus méritoires pour les hommes et les plus agréées par Allâh.
Ne connaissent vraiment ce stade de guidée que les hommes
qui sont les héritiers de la science donnée au Prophète
-sallâ l-Lahû ‘aleyhi wa sallam-, ceux qui le prennent pour
exemple, et modèle à suivre, alors que la plupart des hommes
vivent dans l'indifférence vis-àvis de ceci.
Allâh fait grâce à celui qu'Il veut parmi Ses serviteurs.
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